IFRI KHAYA, est avant tout une marque de streetwear plongeant dans l'univers oriental.
La coté oriental de notre marque vient de « ifri », provenant du mot Ifriqiyya, qui représente une partie du territoire de l'Afrique du Nord au Moyen Âge occidental, correspondant à la province d'Afrique dans l'Antiquité tardive. Il est situé à El Adna, Maghreb (Maghreb oriental). Le territoire de l'Ifricia correspond aujourd'hui à la Tunisie, à l'est de Constantinople (nord-est de l'Algérie) et à la Tripolitaine (nord-ouest de la Libye)1. C'est sous ce nom que le territoire est devenu connu au moment de l'arrivée des musulmans arabes et de la résistance des partisans religieux de la Libye, les Berbères.
Le mot Afrique est dérivé du terme « Ifri » un mot radical qui donnerait naissance au mot Ifriqiya. L'Ifri a également désigné un dieu berbère.
Quant au "khaya", lui, c'est une espèce d'arbre que l'on appelle "Khaya senegalensis", présente depuis la Mauritanie et le Sénégal jusque dans le nord de l'Ouganda. Il est couramment planté sur son aire de répartition naturelle, surtout comme arbre d'ornement et d'alignement, et aussi en dehors de cette région, par ex. au Cap-Vert, en Tanzanie, au Malawi, à Madagascar, à la Réunion, en Egypte, en Afrique du Sud, en Inde, en Indonésie, au Vietnam, en Australie et en Amérique tropicale. Dans les régions sèches du Sri Lanka, il est devenu l'essence privilégiée pour l'établissement de plantations de bois d'œuvre depuis le milieu des années 1990, avec plus de 500 ha établis vers 2004 et 200 ha/an de nouvelles plantations prévues pour l'avenir. L'exportation de grumes de Khaya senegalensis d'Afrique de l'Ouest remonte déjà à la première moitié du XIXe siècle, par ex. de la Gambie. Khaya senegalensis a depuis été massivement exploité pour son bois d'œuvre. De nos jours, le bois est utilisé surtout sur place et il n'y a pas de statistiques sur la production et le commerce. Dans plusieurs pays de la zone de savanes africaines. On a donc voulu faire ce rapprochement entre "l'exploitation" des territoires arabes par les colonisateurs pour leurs profits. La colonisation des territoires arabes commence véritablement pendant le dernier quart du XIXe siècle, même si l'impérialisme européen a posé de fondations solides dans la période précédente. Par la diffusion des technologies et des prêts consentis aux États du Moyen-Orient en manque de liquidités pour financer leur développement,